Captivité en France : l’impasse politique
Si vous êtes sensible à la conservation des animaux sauvages et à leur protection vous avez certainement déjà entendu parler des parcs à thèmes marins. Probablement même à travers des films-documentaires qui y sont liés tel que « The Cove » ou encore « Blackfish ». Ces deux productions ont permis au grand public de prendre conscience de l’éthique plus que discutable autour de la captivité des cétacés, depuis leur capture jusqu’à leur détention et leur mise en scène pour distraire les visiteurs. Alors que le spectre sur ce sujet a été longuement concentré sur ce qui se passait aux USA, avec notamment le parc SeaWorld, des actions de militantisme pour le bien être animal ont émergé pareillement en France. Lesquelles ont gagné en puissance médiatique et en soutien public.
Parmi ces nombreux acteurs, il en est un qui se démarque par sa témérité et sa capacité de construire la médiation qui pourrait amener une révision totale de la captivité animale, pour les mammifères marins ; L’association « C’est Assez !». Sa présidente et fondatrice, Christine Grandjean a répondu à nos questions pour faire l’état des lieux de la captivité en France. Elle nous explique comment la lutte anti captivité a commencé dans cette association très active !
Créée en octobre 2014, l’association C’est Assez ! s’est vite mise en marche et s’est faite remarquer pour son dynamisme : « à l’époque (2014) on ne parlait pas beaucoup de la captivité, j’ai décidé de passer à l’action […] Nous avions organisé une manifestation au Parc Astérix, avec un collectif de 3-4 personnes. Une cinquantaine de personnes avaient à cette occasion répondu à l’appel. L’accueil du Parc Astérix n’a pas été frontal. Les représentants sont venus évidemment nous dire que nous n’avions pas le droit de tracter et de mettre les pieds sur la zone. Mais voyant que nous n’étions pas là pour bloquer la circulation, ni même pour critiquer le parc, les responsables et la sécurité du parc nous ont permis de faire que ce rassemblement puisse se dérouler sans heurts. Notre action visait juste la partie delphinarium. Nous ne disions pas aux clients de ne pas aller au parc. Nous les invitions juste à ne pas aller voir les dauphins. Nous ne sommes pas malveillants à ce niveau-là. Je pars du principe qu’avec une attitude trop radicale on peut moins sensibiliser et interpeller les personnes sur les vrais arguments. On se met tout le monde à dos. C’est contre-productif. Braquer les gens, c’est leur donner envie de faire le contraire. On ne devient plus audible dans la discussion. La réaction des gens a d’ailleurs été plutôt bienveillante ; 80% d’entre eux ne savent pas (encore aujourd’hui) qu’il y a des dauphins quand ils y vont la première fois […]
Quelques semaines plus tard, nous avons pris l’initiative d’interpeller les députés Geneviève Gaillard et Laurence Abeille qui seront par la suite à l’origine des amendements sur la biodiversité et sur la captivité. Leur réaction a été une surprise durant la rencontre. Elles ont été très émues, même bouleversées par ce que nous avons pu présenter. Elles ne savaient pas jusqu’alors ce qui se passait pour les dauphins dans un bassin. Elles nous ont manifesté leur soutien total. Au point de nous reconvoquer devant d’autres députés à l’Assemblée Nationale un mois après. Avec notre contribution, et celles d’autres associations, les députés ont donné suite en présentant l’amendement sur la biodiversité en 2015, qui demandait l’interdiction de la captivité des cétacés… qui sera rejeté malheureusement en avril de cette même année… »
Entretenant des rapports courtois avec les parcs qui pourtant sont menacés par les aspirations de l’association française, C’est Assez ! a pu créer un climat de respect pour reproduire les mobilisations et faire entendre son message. Même après avoir porté plainte contre le Marineland d’Antibes suite à la mort de l’orque « Valentin », victime des inondations subies en 2015, l’association a pu renouveler ses manifestations à l’image de sa première: un rassemblement remarquable en France, avec plus de 600 personnes parmi lesquelles Rick O’Barry, le fondateur de l’ONG The Dolphin Project et figure du film documentaire « The Cove », et John Hargrove, ancien soigneur des orques de SeaWorld et du Marineland qui a pris part au documentaire « Blackfish ». Un évènement fondateur pour l’association selon sa présidente.
4 ministres en 3 ans !
Force d’authenticité, d’arguments et de conviction, l’association s’est retrouvée très rapidement à la table des négociations et des groupes de travail. Malgré le rejet de l’amendement en 2015, leur persévérance leur a permis de faire parti des interlocuteurs privilégiés sur le sujet… de nombreuses discussions auprès des Ministres en postes qui vont se succéder… avec ascenseur émotionnel. Elle nous raconte.
« La Ministre de l’Écologie à l’époque, Ségolène Royale pour ne pas la nommer, a ouvert le chantier pour réviser les règles et les conditions de captivité pour les parcs concernés. Un groupe de travail a été constitué par le ministère, en vue de réécrire un nouvel arrêté, dans lequel nous avons été incorporé dès Mai 2015. Puis il y a eu 3 réunions de travail, notamment pour remettre une pétition à la Secrétaire d’État chargée de la Biodiversité Barbara Pompili, qui aura contribué à l’écriture de l’arrêté sur la captivité du 3 mai 2017. Cette première version sera corrigée 3 jours plus tard par la Ministre elle-même. La même semaine, nous avons lancé notre campagne de communication dans le métro de Paris, soutenu par notre Parrain Guillaume Meurice !
Hélas, les parcs ont fait appel au Conseil d’État pour retoquer l’arrêté pour vice de procédure, sans juger le fond ».
Elle précise pourquoi ce vice de procédure est survenu : « Pour entériner l’application de l’arrêté, ce dernier doit passer devant la consultation publique et devant les instances des organismes de protection de la nature. Ce qui a été le cas de la première version du 3 mai. Mais d’autres associations ont exigé l’ajout de l’interdiction de la reproduction. Ce qui a pressé la modification de l’arrêté du 6 mai 2017. Pressant ainsi la Ministre pour corriger l’arrêté, sans re-soumettre le texte aux étapes indispensables de la consultation publique…. C’est ce qui a entrainé son annulation. Une procédure non respectée… »
L’ingérence des parties prenantes n’a pas eu raison de la lucidité de Christine Grandjean. Elle garde la tête froide et précise ce qui aurait été une impasse sur le long terme :
« L’hyper renforcement réglementaire aurait été un moyen strict, à l’anglaise, d’entrainer la fin des delphinariums en France à moyen terme. Mais les exigences matérielles très onéreuses qui avaient été obtenues dans l’arrêté initial du 3 mai 2017, auraient suscité de toute façon l’annulation de cet arrêté sur le long terme. Le premier arrêté prévoyait l’interdiction de faire venir d’autres cétacés en France, et des travaux considérables de mise à niveau des bassins. Or, même si la législation est renvoyée à chaque pays, l’Union Européenne interdit de restreindre les transferts de dauphins (considérés comme un bien meuble) vers d’autres pays d’Europe et hors Europe.
La modification abordait la fin de la reproduction des dauphins. Demander la fin de la reproduction tout en exigeant des travaux de mise à niveau à hauteur de 5-10 millions d’euros, aurait motivé le Conseil d’État à casser l’arrêté pour l’incohérence et l’irréalisme économique vis-à-vis des parcs concernés. La fin de la reproduction entrainerait automatiquement le dépôt de bilan des sociétés dans les 10-15 ans avec cette seule mesure. Exiger des travaux d’amélioration était jugée comme abusée. Les sociétés ont fait appel sur la forme, car c’était un moyen plus rapide. Mais elles auraient eu gain de cause sur le fond, rien qu’à l’analyse de cette situation.
Pourtant dans ce premier arrêté nous ne demandions pas l’arrêt de la reproduction des dauphins, mais uniquement celle des orques. Tout le monde semblait satisfait de cette première avancée. Les delphinariums étaient prêts à accepter cette concession car c’était toujours viable pour eux. Le maintien de la reproduction des dauphins était suffisamment moteur pour maintenir leur modèle économique sur le long terme. Les parcs ne s’en cachaient même pas en nous affirmant que s’ils n’avaient plus la reproduction des dauphins, ils fermeraient dans les jours qui suivraient. Pourquoi ? Parce que si les actionnaires n’ont pas une visibilité sur le long terme, ils n’investiront plus chez nous. C’est en cela que l’interdiction de la reproduction reste le levier de négociation le plus périlleux avec les parcs. C’est une forme de chantage à l’investissement, chantage à l’emploi. Mais c’est cohérent économiquement. En revanche il y a une autre variable qui rentre en considération qui a surpris les associations, dont C’est Assez ! : le chantage aux conditions de bien-être des animaux qui devront être envoyés dans d’autres pays, où les règles de bien-être animal ne sont pas garanties. C’est un bras de fer qui est devenu plus compliqué depuis cet arrêté.
Depuis lors, la présidente de C’est Assez ! ne s’est pas découragée malgré un climat d’instabilité gouvernemental : après Ségolène Royale, 3 Ministres de la transition écologique se sont succédés depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Élysée.
« Nous avons d’abord rencontré Nicolas Hulot, Ministre de la Transition Écologique, pour une réunion d’audition, puis une autre réunion avec les parcs en question. Il s’était distinctement positionné contre la captivité notamment dans ses tweets, malheureusement aucune avancée n’a vu le jour durant son passage au ministère. A son tour, son successeur François de Rugy, nous a reçu le 12 décembre 2018, avec neuf autres associations à parler d’une même voix (30 Millions d’Amis, la Fondation Brigitte Bardot, la fondation assistance des Animaux, la SPA, le CNDA, l’Office des Refuges de France, Ensemble pour les animaux…). Il a relancé les groupes de travail sur le bien-être animal des spécimens sauvages dans les delphinariums mais aussi les zoos et les cirques. Le 3 juillet nous avons rendu nos conclusions. Le Ministère de l’économie a rendu les siennes, en faveur des delphinariums. Là encore, François de Rugy s’était engagé à prendre des mesures … jusqu’à ce que lui aussi ne démissionne.
Le feuilleton continue: la nouvelle Ministre Elisabeth Borne a reconvoqué les parties impliquées le 30 août 2019, pour reprendre en considération les conclusions de chacune des voix en vue d’un arbitrage sur les réglementations sur le bien-être animal. C’est bien la présidente de l’association C’est Assez ! qui a été porte-parole pour la partie « delphinarium ».
Les demandes ont été adaptées pour prendre en considération les enjeux économiques des parcs et des emplois en question. Mais aussi pour faciliter le consensus, sans nécessairement faire de pas en arrière.
« Sachant que nous avons laissé tomber toutes nos exigences engageant les établissements à de lourdes dépenses d’agrandissement des bassins pour ne pas étrangler les parcs, nous avons maintenu les aspects de l’ordre du « moins mal être des animaux », qui ne coutent rien : interdire les échouages durant les spectacles, les tractages par l’aileron, les propulsions des soigneurs, les spectacles de nuit, les feux d’artifices, la musique trop forte, la création de zone d’ombrage, l’arrêt de la reproduction et des interactions avec le public. En revanche, nous avons introduit la nécessité de créer un sanctuaire, un espace de retraite, sur les côtes françaises pour accueillir les dauphins captifs, les orques n’étant pas adaptables dans nos eaux ».
Une stratégie des petites avancées, ou petites victoires, qui ne met personne en péril. Pourtant rien n’a avancé sur le sujet depuis notre interview en octobre 2019. L’arbitrage annoncé pour fin d’année 2019 se fait toujours attendre, et cela ne semble pas promis à une annonce prochaine avec la conjoncture actuelle et le confinement général dû au virus Covid-19.
Pourtant les marqueurs économiques et sociaux permettent un changement des conditions de captivité des animaux en France, restées intactes depuis l’arrêté 1981. Un sondage commandé par C’est Assez !, 30 millions d’amis et la Fondation Brigitte Bardot en novembre 2018 indique que 70% de la population est contre la présence des cétacés dans les bassins pour le divertissement, et 82% en faveur de la création d’un sanctuaire de réhabilitation. Ce qui fait garder espoir aux membres de l’association. Elle explique : « Nous sommes en France aussi avancés qu’ailleurs dans le monde. Alors évidemment il y a des pays qui n’ont pas de delphinariums. Mais nous ne sommes pas dans ce cas. En revanche nous pouvons nous inspirer des pays qui ont su évoluer vers l’interdiction totale comme le Canada en 2019, mais surtout comme l’Angleterre, qui a imposé un cadre réglementaire tellement exigeant en investissements, que cela a entrainé la fermeture des exploitations de cétacés. Tout dépend de la fluctuation des législations. C’est d’ailleurs ces exigences matérielles très onéreuses qui avaient été obtenues dans l’arrêté initial du 3 mai 2017. Mais la France est politiquement plus dure à manœuvrer.
Il faut reconnaitre qu’il n’y a pas beaucoup d’appétence, d’intérêt pour la cause animale dans notre pays. Dans une situation de tension sociale, l’agenda réduit la disponibilité et les moyens pour traiter le bien-être animal. Les associations ne sont pas écoutées et plus rien n’avance. Parfois on a l’impression que ces réunions sont faites pour gagner du temps. Mais on n’a pas d’autres choix… en tant qu’associations on ne peut qu’espérer que quelque chose va en émaner. Peut-être qu’on nous ballade, mais je garde espoir pour que nous puissions imiter les anglais et les canadiens sur le sujet. La reconnaissance de la personnalité juridique en Inde (‘’personne non humaine’’) est tellement abstraite et lointaine pour nos sociétés. En France on est pas du tout sur cette ligne éthique : les animaux sauvages sont encore considérés comme des biens meubles !
ambassadeurs sacrifiés pour l’éveil de nos consciences ?
Afin de mieux comprendre ce qui motive son combat, soutenu par plus de 104 000 personnes rien que sur Facebook, la suite de questions suivantes s’imposait : Les Marineland et consors n’ont-ils pas été à l’initiative de cette génération militante en faveur de la protection des cétacés, en permettant au commun des mortels de rencontrer des animaux vivants, de réaliser leurs capacités, leur sensibilité et développer une empathie pour ces animaux ? Ces animaux captifs ne sont-ils pas des ambassadeurs sacrifiés pour l’éveil de nos consciences ? Sa réponse est sans appel !
« Personnellement je n’étais jamais allé dans ces parcs avant de m’engager. Voir des éléphants faire le poirier dans les cirques n’a jamais suscité d’action pour les protéger dans la nature, loin s’en faut. Les cirques n’ont pas comme ambition d’éduquer les consommateurs à respecter l’animal. Par ailleurs ce ne sont pas les parcs marins qui font avancer les recherches :80% des études sur les cétacés sont réalisées en milieu naturel. Les comportements sociaux ont d’ailleurs tous été vérifiés dans la nature. Les jeux, les apprentissages des techniques de chasses…. Jusqu’au deuil. Impossible de vérifier ce dernier point en captivité, soit dit en passant, étant donné qu’on retire sans attendre les juvéniles morts des bassins, empêchant la mère de porter son deuil. La captivité peut induire des enseignements de comportements faussés qui ne se produisent pas dans la nature : quand deux femelles se battent et que le petit est tué dans l’affrontement, ce n’est pas une marque de leur férocité. Cela ne se produit pas dans la nature. Les animaux en oppositions se séparent par des centaines voire des milliers de kilomètres. Quid des cas d’inceste ou de harcèlement. C’est la promiscuité des bassins de captivité qui conditionnent ces comportements.
Enfin, a-t-on besoin de savoir qu’un animal est intelligent pour le protéger et le respecter ? non ! Au-delà de cela, pourquoi continuons-nous de les capturer pour les mettre en scène en dégradant leur intelligence dans des tours de cirques ridicules et douloureux pour l’animal ? Si ce n’est pour faire un billet ou deux.
En fait, observer un dauphin en captivité, c’est comme observer un humain innocent en cellule. Qu’allons-nous apprendre du comportement de l’homme dans ces conditions ? qu’il a des comportements stéréotypés, qu’il se ronge les ongles, qu’il fume, qu’il devient agressif, qu’il devient fou. On le sait depuis longtemps maintenant. Quel intérêt d’observer un animal qui n’est pas dans son état normal ? De préciser que tous les animaux sont constamment drogués pour juguler leur comportement en plus des hormones synthétiques, des anti dépresseurs… les langues se délient chez de plus en plus de soigneurs. Nous ne pouvons plus nier tous ces aspects pour les mettre dans des bassins à notre seule délicate distraction. Avons-nous besoins de posséder, de voir, de toucher l’animal pour le respecter ou le laisser exister ? »
Un témoignage passionné qui fait état d’un ras-le-bol face à ce droit que l’homme s’octroie à disposer du vivant de manière matérialiste. Malgré la multiplication des interdictions de zoos, cirques et delphinariums dans le monde, Christine Grandjean peine à rester optimiste devant l’émergence frénétique des delphinariums en Chine.
« Je suis optimiste pour la France, mais pas au niveau mondial. Taiji a augmenté ses captures pour les delphinariums. La chine est entrée dans un mode de consommation en décalé avec l’occident. Presque tous les mois, il y a un delphinarium qui sort de terre et qui commande de nouveaux individus ». En occident il y a un début de prise de conscience, mais pas ailleurs. Notamment en matière d’appréhension de bien être animal. En revanche, il faut savoir que les delphinariums français sont infiniment moins atroces que la majorité des autres pays, où les conditions sont très dégradées. Pour combien de temps encore…. Les inondations ont beaucoup impacté le Marineland d’Antibes… avec la mort de plusieurs animaux parmi lesquels l’orque Valentin qui a succombé dans les eaux souillées. Mais il y a une sorte de justice ; Passé de 1,2 millions de visiteurs à 800 000 visiteurs par an, soit -400 000/an en quelques années à peine, marque le désintéressement et la désapprobation du public pour ce type de divertissement. Au-delà de cette dégringolade, le parc maintient son influence en accueillant des visiteurs parfois gratuitement. Mais gardons à l’esprit que ce parc est situé dans une zone inondable. Les 4 campings autour ont été fermés et interdits de manière permanente, par précaution. Car les inondations seront amenées à se reproduire vu l’intensification des intempéries. Et des drames identiques surviendront dans l’indifférence générale, dans le Marineland qui continue son exploitation malgré les risques ».
Les combats qui sont menés pour la cause animale sont parmi les plus grands sacerdoces qui puissent exister à notre époque. Les postures conservatrices, indifférentes, moqueuses, ambivalentes voire sadiques découragent beaucoup de porteurs de projets de protection animale et de bénévoles. L’engagement sans faille de personnes comme Christine Grandjean et de C’est Assez, témoigne qu’il existe des garde-fous pour corriger les imperfections et les dérives des comportements humains qui ont sacrifié le vivant sur l’autel d’un modèle économique. Ambassade des Océans tient non seulement à saluer et à soutenir tous les acteurs qui participent du respect de la condition animale, mais aussi de vous appeler à soutenir les trop rares associations qui veillent à changer les choses de manière exemplaire. Certains combats peuvent paraitre ridicules… jusqu’à ce que nos connaissances les rendent évidents.
Affaire à suivre.
Issu des entretiens réalisés par téléphone le 12 octobre 2019 et le 15 février 2020.
Crédits images: C’est Assez !
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